Avec toutes ces stratégies vous commencer à me stresser
La seule chose que je peux vous dire : c'est qu'il y a peu de chance que vous appliquiez votre choix de course en temps T.
Il faut surtout avoir une bonne capacité d'adaptation et réduire au maximum les sources de stress = bien checker son matos, avoir tout sous la main; gréer 2/3 voiles en avance, avoir un bon chrono et brancher son cerveau sur on au brieffing.
Après la question va effectivement être celle du placement sur la ligne.
1. Vous repérez un cador sur l'eau (avoir en tête 30 mecs qui tournent, les N° de voiles aident bien) et vous ne le lâchez pas ! = technique Diabolo
2. Vous en avez rien à faire des choix des meilleurs, vous voulez prendre un max de risques et vous êtes arrivés à la bourre sur la ligne = technique Satanas sévèrement burné
Pour le matos, il faut effectivement toujours prendre plus gros que ce que vous prendriez en freeride. Mais vu la distance, il va quand même falloir être pas trop à la rue. Moi je compte travailler et me préparer pour effectivement tourner avec mon IS 94 (avec 3 voiles : 5.8, 6.4 et 7.0). Il faut aussi s'entrainer sur des quivers improbables :
95 + 5.8
110 L + 6.5
120 L + 7
L'équation sera sûrement gros flotteur petit moteur ou gros moteur petit flotteur pour être bien dans les conditions marginales. Et là pour le coup : ne vous focalisez pas trop sur votre voisin (je sera encore au large de l'Ile de Ré si j'avais suivi les choix de mon pôte Laurent
). Regardez le plan dl'eau, les conditions météos et privilégiez le matos que vous connaissez bien. Ne chargez pas en aileron. Entraînez-vous à taillez plus petit (glisse et jambe arrière sauvegardée)
Il nous faudra bien 1 ou 2 manches pour nous caler.
Le mieux c'est de faire des slaloms (au moins à 4/5) avec procédure de départ lors d'une sortie du kiff. Acheté un bon chrono avec des gros chiffres !
On va se régaler
