C'est pas une zone protégée?
En plus les prévs se sont cassées la gueule pour la fin de l'après midi et il pleut!

Perso, je vais à  Brénilis et pas trop tard afin de profiter du vent avant la pluie : si tu veut te joindre à  moi tu est le bienvenu.

Moi, je rejouterais une rubrique Stand up paddleé¦
Je donnerais la possibilité d'inscrire plus de planches car on a tous beaucoup de matos et in est tous de fashion victim.
Et enfin, je ne sais pourquoi mais j'arrive pas a valider à  la fin du questionnaire...

Tesla modèle X + remorque.

Citation :

Le soucis des forum c'est que parfois, répondre à  une question c'est se faire incendier direct, donc les gens hésitent à  donner leur opinion!

Bon...conseil de gros (mouah!)

A 80 kg, pas la peine de prendre aussi volumineux, 120 litres suffisent pour tes voiles prévues : au Crotoy je navigue en 7,4 avec 116 litres et 65 de large.

Pour les planches modernes, le volume ne veut plus dire grand chose, la largeur et la répartition du volume est plus importante que le volume (volume qui parfois est faux dans les brochures constructeurs).

Plus un flotteur sera orienté compétition, plus il sera fin donc peu volumineux : certaines isonic font 127 litres pour 85 de large.

Pour ton programme et tes voiles, je prend direct une starboard hypersonic 133, 125 ou 111.

C'est un flotteur très évolutif puisqu'il supporte une plage très importante de voiles et est idéal et solide pour débuter en foil.

Pour la reprise, je te conseille de retirer les straps arrières et des ailerons d'une même marque et d'une même série (moi je prend des select S par exemple).

Pour le foil, une petite plaque en carbone au niveau des têtes de vis et le tour est joué, pas besoin de renforcer le boitier.

Une belle occasion est dispo ici en 111 litres : https://www.leboncoin.fr/sports_hobbies/1540767103.htm/

Pour tes mats et pour naviguer à  la forêt d'Orient, je privilégierais des mats très réactifs et chargés en carbone : d'occasion ça ne co»te pas plus cher alors pourquoi se priver?!

J'achèterais à  priori de prime abord le mat, et à  fortiori le mat avec la voile.

Explication : certains gréements sont plus durs à  gréer que d'autres et ceci même avec le mat recommandé.

Tu demande donc au vendeur de pouvoir gréer la voile avec son mat avant la vente : si l'ensemble est facile à  gréer, tu gagneras du temps à  chaque nav.

Par exemple moi, je conserve des voiles qui se grées sur des mat CK95, voiles de courses ou freeride avec cams, quel que soit la taille du mat et de la voile, ç'étais très bien coupé à  l'époque et je fait mon possible pour les conserver car en fin de journée après le bureau tu gagne du temps au gréage.

Cams ou pas cams? Tel est la question!

Je répondrais qu'avoir le bon mat, nerveux et réactif, est le plus important sur lac.

Sur lac, le vent est parfois irrégulier alors la nervosité et la souplesse du mat est plus importante que le creux de la voile mais une voile freeride à  camber te donne une plage d'utilisation en plus dans le petit temps.

J'ai dit freeride et non course, laquelle est beaucoup plus fine et réservée à  une navigation surtoilée.

Pour le wishbone, c'est comme le mat : pourquoi ne pas prendre du carbone? En occasion un bon wish carbone c'est 300 euros et avec une voile sans camber, c'est vraiment un gros plus car celles-ci demandent une forte tension à  l'écoute, contrairement aux voiles à  camber.

Pour les voiles freerides sans cam, je conseille :

The Loft O2 en RDM et ceci même en grande taille.

RRD Fire qui s'adaptent à  beaucoup de mats.

Tu la met en plein soleil un jour de beau temps et ça peut revenir tout seul.

Sinon, remplissage au micro ballon et finition au gel coat.

Je vais à  la Torche ce soir donc je peux le prendre au retour et le livrer Mercredi en RP zéro six zéro neuf zéro deux 53 34

Moi j'ai une poignée SDM/RDM sur un wish 170/230, je trouve ça bien pratique et sachant que les mat RDM sont en général très renforcés au niveau du wish, je ne me suis jamais posé le problème et je n'ai jamais eu de casse.

Déménage en bord de mer!

Moi, c'est ce que j'ai fait.

J'ai eu un gros gros carton à  moto il y a 11 ans...hôpital, fauteuil roulant, dépression.

Lorsque j'ai réussi à  remarcher, j'avais une paralysie partielle côté gauche.

Il y a encore quelques, lorsque je faisais une grosse nav, je me déplaçais les jours suivants avec les béquilles ou le fauteuil.

Aujourd'hui, je fourni un service tout compris à  des pêcheurs à  la ligne, kayakistes, surfeurs, windsurfers, pour venir s'éclater en Bretagne en descendant du train, sans avoir à  rien prévoir.

Le fait de déménager au bord de l'eau a changé ma vie.

J'ai toujours du matos dans le surf car, je navigue quand le vent souffle au dessus de la maison et j'ai zéro session moisie.

Aux dernières nouvelles, il fabriquait des rames de sup.

La marque d'aileron tant à  elle a disparue à  ce qui se dit pour des problématiques de disputes entre "associés" mais tu en trouve sans problème sur LBC.

PS : si c'est juste pour avoir un aileron orange, c'est une laque Nautic pour appendices (cela permet aux navigateurs de voir plus facilement sur des algues ou des cordages se sont pris dedans).

Tarif 70 euros.

Départ de port mer à  Cancale en fin d'après midi le vent était faiblard et rapidement un fort clapot a ralenti mon avancement.

Arrivé à  l'entrée du chenal du Couenon, le bateau de sécu m'annonce qu'il se fait littéralement rosser dans le clapot, que tout le monde est malade a bord, qu'il a peur du courant et qu'il ne trouve pas l'entrée du chenal.

En plus le vent tombe...

Décision est prise de rejoindre la côte normande toute proche et faire le point.

Je touche terre et la, le bateau m'annonce qu'il rentre à  Saint Malo.

La traversée de la baie s'est fait en 1h54.

Je fais un essai pour repartir vers le Mont Saint Michel (il me reste 2 heures avant la marée haute).

Cet essai n'étant pas concluant, je décide d'en rester là .

Conclusions :

J'aurais du prendre un flotteur de freeride, plus rond, plus facile.

J'aurais du mettre plus de toile.

Plutôt que de vouloir naviguer très haut par rapport aux parcs à  huîtres, j'aurais du descendre jusqu'au sable et le longer : cela m'aurait permis de faire des pauses et j'aurais été moins fatigué.

En effet, moins il y avait dl'eau, moins il y avait de clapot.

J'aurai du prendre un sac a dos qui ne s'imprégne pas dl'eau!

Plutôt que de prendre un bateau de sécu qui par définition a un tirant dl'eau et me force à  naviguer avec du fond sous l'aileron et donc du clapot, j'aurai du prendre un jet!

Bon sinon...avoir traversé toute la baie de Cancale jusqu'en Normandie je rêvais de le faire et cela restera un super souvenir.

Je ne me baserai personnellement pas sur les résultats d'un coureur si méritant soit t'il pour juger de la qualité de la marque sur lequel il coure.

Déjà  ces coureurs ont un physique hors norme (par rapport à  nous!) et pour des flotteurs qui à  mon sens vont souvent tous dans le même sens, l'aileron est pour moi et de loin, l'élément le plus déterminant dans les performances d'une planche de slalom.

Cobra terminatech ou...de grandes marques automobiles ou moto, sont très très fort pour fournir à  leurs coureurs ou aux magazines de test, des produits qui ont l'aspect de la série sans l'être.

Chez Cobra un atelier est tout spécialement dédier à  cette activité.

Chez Terminatech, on change la qualité du carbone et c'est ni vu ni connu.

Chez Starboard les coureurs Formula couraient un moment avec des flotteurs baptisés "aéro" homologués en série et indisponibles pour le vulgum pecum. (seul des flotteurs freestyles ont été proposées aux clients dans cette technologie, des flotteurs vagues avec un nez creux ont été construits mais pas commercialisés).

Personnellement j'ai cassé une Formula neuve qui m'a été remplacée par une planche d'occasion coureur et j'ai été très très surpris de la différence de comportement au près et la différence de construction était flagrante visuellement.

J'ai fait l'expérience de peser en shop un mat sensé être "le plus léger du monde" pour sa taille, face à  un mat de même taille qui trainait dans mon surf car et était issu du team compétition chez une marque bas de gamme et mon vieux mat l'a emporté haut la main.

Je possède des flotteurs sensés être de série que j'ai récupéré directement à  l'atelier de conception et n'importe qui peut m'accompagner en shop pour constater que les 3 mêmes flotteurs sensés être en carbone sont en étonnement beaucoup plus lourd en shop.

J'ai participé en tant que testeur au développement du foil (les marques ont aussi besoin de savoir ce que pense de leur produit les pratiquants lambda) et je peux prétendre que la qualité des matériaux utilisés ont une importance primordiale sur le comportement du foil et qu'entre le proto et la série pour la même marque, le même modèle et le même profil, il y a parfois un fossé dans un secteur ou comme l'avais prédit un ancien intervenant, les grandes marques ont pris le pouvoir (y compris en compétition) et ou que ce soit pour les flotteurs ou les foils, à  900 ou 2000 euros le bout, les marques ont des choix à  faire par rapport au couts des matériaux.

Info : ce dispositif est en test à  saint Co windsurf.

Il n'a pas été efficace selon Edouard pour éviter les dégâts occasionnés par les gros crashs.

Il est en vente au tarif public à  saint Co.

En tout les cas c'est dispo en surfshop et même si je ne tombe plus beaucoup sur l'avant moi je vais en acquérir un pour le foil.

Avec l'évolution des shapes ou l'on a allongé les rails en écrasant le nose, le déviator et autres mushroom ne sont plus du tout adaptés aux flotteurs actuels puisque qu'en réalité l'impact est déplacé sur le coté et les dégâts sont encore plus mal placés sur une zone beaucoup plus exposée à  l'eau.


Cette nouvelle solution me parait très adaptée aux nouvelles planches.

J'ai cru comprendre qu'il y avait plusieurs modèles de différentes dureté?

Personnellement j'ai une 6,5 et une 7,8 North 3DL du temps ou Harry Negri se servait du haut du moule des voiles de la coupe de l'América pour faire une petite série de voiles à  10000 francs, prix exorbitant à  l'époque et banal aujourd'hui.

Le moule en question était monté sur des milliers de vérins, permettant ainsi de modifier le galbe de la voile à  volonté.

Si les voiliers qui soumettent leurs voiles à  des forces beaucoup plus importantes que nous, se plaignaient du manque de durabilité de ces voiles pour cause de délamination (dues aux UV), pour moi qui pèse beaucoup moins lourd que n'importe quel bateau et expose beaucoup moins sa voile aux soleil, ça passe très bien.

La 6,5 a commencé à  se délaminer à  l'écoute mais un petit coup de couture à  l'écoute et il n'y à  eu plus de soucis que cela.

La housse de ces voiles est très épaisse et opaque : je suppose que c'est avec raison.

Pour la plage, j'ai une housse de gréement pour plus de sureté.

Sinon au niveau chute et accros, c'est indestructible : je les balancent dans le fond du voilier en voyage et je n'ai jamais fait le moindre accro.

Ces voiles datent du milieu des années 90 (6,5) et de la fin des années 90 (7,8).

Pour vous rassurer sur la durabilité des nouvelles voiles membranes actuelles :

Le procédé à  diamétralement été modifié en 2009, permettant d'éviter les délaminages.

En 2007, la voilerie, impressionnée par le potentiel de voiles filamentaires en PBO d'Alinghi é“ utilisées en entraînement, mais pas en régate é“, rachète son brevet et met au point, dès 2009, le 3Di. Le principe d'une voile réalisée sur moule est le même, mais désormais il n'est plus question de fibres prises en sandwich entre deux films é“ et donc de potentiel délaminage é“ mais de filaments liés entre eux par une résine thermodurcissante spéciale. C'est la Volvo Race qui a servi de tremplin aux voiles North 3Di, réalisées en filaments de Dyneema, de carbone et/ou d'aramide. La course impose un nombre restreint de voiles, alors autant qu'elles durent longtemps ! Et c'est justement une des évidentes qualités du 3Dié¦ à  tel point que Thomas Coville a navigué plus de 50 000 milles avec ses 3Di é“ sa grand-voile en a fait plus de 78 000 !

Le développement actuel des voiles membranes n'a non seulement plus rien a voir avec la technologie de 92 mais correspond aussi par le développement d'outils de production en chine.

Considérant le vieillissement de la clientèle windsurf, je pense qu'un marché existe pour des voiles durables et performantes et à  mon sens, ces voiles membranes tiendront toutes leurs promesses.

Concernant ton gabarit et ta musculation, tu as les mensurations proche d'Eddy Merckx et de beaucoup de footballers (ils sont un peu plus grand que toi pour le même poids).

Les coureurs en RSX sont plus grands que toi et en général très très fin et ils tiennent 9,5 de toile donc pas de problème!

Concernant la planche, plutôt que d'acheter une occasion, demande à  ton surfshop de taper dans les vieux stocks des marques et importateurs (Exocet par exemple).

Des listings existent de planches qui ont plusieurs années et sont totalement neuves : tu arrive a avoir un flotteur totalement neuf pour un prix un tout petit peu supérieur à  l'occasion.

Personnellement j'ai perdu 21 kg en 1 an et demi (c'est plus pareil au niveau flottabilité!) et c'est ce que j'ai fait pour changer de quiver.

Citation :

On n'a qu'à  émigrer!

La Torche en vent Cross shore c'est pas le pied en surf mais en windsurf, ç'est idéal pour découvrir le spot!

Moi je suis déjà  sur le Finistère dans les startings blocks.

Vendredi, il y a 30 à  40 nœuds de sud ouest...

En même temps, partir de la pointe du Conguel (ou quasi), d'une plage ou tu n'as que le seul coté tribord pour partir avec 30 nœuds de prévu (prévisions fiables depuis 2 jours) et semble t'il bien plus au final et ce au surplus avec le vent dans le dos...c'est que l'on est très sur de soi!

Il y a quand même des spots plus safe dans le coin pour naviguer dans cette orientation et ces conditions de vent.

Pour un budget modique, cette starboard reste beaucoup plus adaptée et solide que des planches plus récentes.

Je m'explique :

Le pont des planches de cette génération n'étant pas traversé par des puits pour les vis, il est beaucoup plus solide, surtout que tu peux y adapter très facilement une plaque de renfort en carbone ou de grosses rondelles.

Pour débuter, nul besoin d'avoir une planche trop large au maitre beau. Personnellement, j'ai une Starboard Formula 155 de 75 de large pour le petit temps et une Starboard Hypersonic pour la brise (la plus adaptée au débutant au foil selon moi),

J'ai testé une Formula Gaastra Vapor mais comme le dit Tintigwen, hors grand gréement et d'objectifs de compétition, la planche colle à  l'eau...et est beaucoup plus difficile à  contrôler dans la brise.

La gamelle que tu te paie avec tout ce barda est à  l'image de l'encombrement de ce "quiver", les dégâts sont vite importants, sur le matos (cher le matos en plus!) et sur le bonhomme.

En matière de foil, les gamelles ne sont pas rares et surtout au début : donc inutile de mettre beaucoup de roros dans du mats que tu risque de casser et souvent moins adapté à  des débutants.

Les flotteurs spécifiques suivent ces 2 tendances eux aussi et a moins d'avoir l'expérience et le niveau, nul besoin me semble t'il d'investir dans des planches hyper larges et hyper carrées.

Leurs prix en occasion vont baisser; en effet la planche à  voile retombe une fois de plus dans ses éternels travers, faire plein de matos ultra spécifique, ultra cher et démodé ultra vite.

De plus, le flotteur n'a qu'un intérêt non pas mineur mais au moins secondaire en matière de foil (par rapport au foil lui-même j'entend).

Si tu te lance dans la "compétition" une fois l'expérience acquise, opte pour un profil avec des "wings" sur les cotés de l'aile avant : cela tourne beaucoup mieux au jibe, la plupart des foils que l'on trouve d'occasion tirent tout droit et ont beaucoup de mal à  tourner court sans quitter le planning.